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Le PDG de TikTok aurait menti au Congrès ?!
Forbes a dévoilé des documents internes de Tiktok...
L’actu de la creator economy en 3min TOP CHRONO. Voici les infos de la semaine :
Des influenceurs sanctionnées par l’Etat 👄
Des infos confidentielles de Créateurs stockés en Chine ! 🏎️
La rédaction de “Les Echos” en grève ! 👨‍⚖️
PS : Sulico est enfin en bĂŞta !
Ce qui veut dire qu’on accepte de nouveaux créateurs et agents !
Pour rappel, Sulico c’est l’app qui permets aux créateurs et agents de gérer leurs partenariats (Kit Media, Rapport Analytique, Filtre Anti-arnaque, etc…)
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1 - Des influenceurs sanctionnées par l’Etat !
Source : DGCCRF
Suite à l'adoption d'une nouvelle loi visant à réguler les abus des influenceurs, la Répression des fraudes (DGCCRF) a publié les noms de six influenceurs sanctionnés pour des pratiques commerciales trompeuses ou des publicités cachées. Voici les influenceurs concernés :
Illan Castronovo : Sanctionné pour avoir fait de la publicité pour un service de conseils en paris sportifs sans mentionner qu'il s'agissait d'un partenariat.
Simon Castaldi : Sanctionné pour ne pas avoir indiqué les partenariats dans ses publications sur Instagram.
Capucine Anav : Sanctionnée pour des pratiques commerciales trompeuses sur son compte Snapchat, notamment en ne mentionnant pas le caractère publicitaire de certaines publications et en communiquant des informations trompeuses sur des produits pour enfants.
Anthony Matéo : Sanctionné pour la promotion de prestations d'injections d'acide hyaluronique non réalisées par un professionnel médical et pour ne pas avoir indiqué le caractère publicitaire rémunéré sur ses comptes Snapchat.
Gaetan Debled et Léa Monchicourt : Sanctionnés pour ne pas avoir révélé l'intention commerciale de plusieurs de leurs publications vidéos sur les réseaux sociaux, bien qu'il s'agissait de partenariats rémunérés.
La DGCCRF a publié ces sanctions sur Twitter, obligeant les influenceurs à afficher sur leurs réseaux sociaux des bandeaux mentionnant leur sanction. Les influenceurs doivent relayer ces bandeaux toutes les 24 heures pendant 15 jours, sous peine d'une amende journalière pouvant aller jusqu'à 3 000 euros ou 0,1 % de leur chiffre d'affaires. En cas de récidive, des sanctions pénales peuvent être prononcées, pouvant aller jusqu'à 300 000 euros d'amende et deux ans de prison.
Mon avis :
Cette méthode de “Name and Shame” est poussé à l’extrême pour éviter que d’autres influenceurs ne suivent pas les règles.
Il est impossible pour la DGCCRF d’examiner chaque partenariat pour chaque influenceur. Alors mieux vaut frapper un grand coup dès le début pour dissuader certains.
2 - Des infos confidentielles de Créateurs stockés en Chine !
Source : Forbes